Nombreuses sont les femmes qui disposent d’informations parcellaires ou erronées quant à leur fertilité. La faute à qui? Aux mœurs. Car si les mentalités évoluent à mesure que les langues se délient, certaines éprouvent toutefois gêne et embarras lorsque leur vient l’envie d’aborder ce sujet, encore relativement tabou. Cet article vous informe et répond à toutes les questions que vous n’avez jamais osé poser. Prenez note! 🙂
Comprendre le cycle menstruel
Avant toute chose, il vous faut savoir qu’il existe presque autant de cycles menstruels qu’il n’existe de femmes. Néanmoins, nous sommes toutefois en mesure d’affirmer que la durée d’un cycle oscille généralement entre 23 et 35 jours, 28 ayant été défini comme étant la « norme ».
Reste qu’une femme n’est pas en mesure de procréer à tout moment de son cycle. La période d’ovulation s’étend en réalité sur 24 heures et survient 14 jours après le début des règles. Néanmoins, il convient de ne pas confondre période d’ovulation et période de fécondité. Car si les femmes ovulent pendant 24 heures, il leur est possible de tomber enceinte durant un laps de temps plus étendu, les spermatozoïdes demeurant viables jusqu’à 5 jours une fois dans l’utérus.
Comprendre la ménopause
Si une femme n’est pas en mesure de procréer à tout moment de son cycle, elle ne l’est pas non plus à tout moment de sa vie. Une femme est en réalité dite fertile, en moyenne, entre 13 et 50 ans. Soit dès la survenance des règles et jusqu’à la ménopause.
La ménopause se caractérise par la disparition des ovaires, qui entraîne par extension la fin des cycles menstruels et donc la fin de la fertilité féminine. La ménopause s’accompagne généralement de toute une série de symptômes plus ou moins difficiles à supporter (fatigue générale, bouffées de chaleurs, sueurs nocturnes, irritabilité, etc.
Il reste néanmoins possible d’atténuer médicalement ces différents symptômes.
Comprendre l’infertilité féminine
Reste que toutes les femmes, réglées normalement ou non, ne sont pas forcément dans la capacité de procréer. On parle alors d’infertilité ou de stérilité. S’il est certains cas pouvant être traités, ce n’est malheureusement pas le cas de la totalité. Ces dernières, si elles souhaitent avoir des enfants, ont néanmoins la possibilité de se tourner vers diverses « alternatives ».